Cyber état poétique
L'état poétique au coeur du numérique- cyber art- liberté freedom-
Contributors | GORZ-BISS (VIDEO-Text-MiX)-Friday, May 12, 2006 |
Sunday, June 25, 2006
Tuesday, June 20, 2006
Perle syntone
Ressentir mon centre psychose Instantané
Evidence nocive et propre reflète le dehors
Fragment comatique s’approche et s’éclipse
C’est constant quand rien et tout s’arrête
Les sens se heurtent parfois à la pression du chaos
Attendre l’Injection des croisements du hasard
Avec toutes les belles substances hallucinogènes
Étonnement violant de mon instinct schématique
Effet secondaire de cette respiration
Morphine bouleverse la disposition des moments
Canalisé les sources naturelles, tenir les ficelles du monde
Inspiration présentée en flux lumineux de vitesse
Pulsions opposées dangereuses pour ma matière
Sentir son inconscience s’approcher du réel
Déséquilibre dimension de l’être
D’art intoxiqué, n’influant pas ce qui est neutre
L’océan des émotions vrillées et mélangées
Repoussé et attiré mes symptômes du retour
Dévie vers moi les trajectoires sensorielles
Vortex de pensée laissant trace comme une onde
Vivre à la dérive
Balance-moi, augmente le volume du silence
J’aime encore la sensation secouée retournée
Antidote d’un clair de lune
Pour réparer les demains sans rêves
Une pluie torrentielle sur ma flamme
Qui suis-je supposé être aujourd’hui ?
Seul d’aimer quand je contemple la merveille
Je suis tout et rien
Mon centre est loin de moi
Friday, June 16, 2006
Sanglot des ames
Parce que j’ai couru dans le désert
Encore la fin où chaque soir arrête le temps
Seul avec moi, loin d’aujourd’hui
Je sais qu’il y aura de nouveau cet éclat dans les étoiles
Juste une partie de moi qui bascule
Sans contrôle et le laissant m’envahir
Bouleversé d’apparences et submergé de maux
C'est une vision du monde qui c’est ébranlé
Crier avec mes yeux dans le noir du silence
Guider par le chant d’intuition ou d’imagination
Le blanc de la psychose, ces larmes translucides
Les vertiges de confiance, canaliser à outrance,
Les promesses et les mensonges
Les retours cachés qui n’alimentent pas le besoin
L’éventail des conséquences des folies vécus
L’effondrement des sens quand l’équilibre s’accompli
Même si cet étouffement est brutal
Ce ne sera qu’une trace dans le sable
Comme une signature sur notre coeur
Ainsi vivre à travers mes détails
Tant que je fais parti des survivants …
Wednesday, June 07, 2006
Certes sternes
Sans son chant l’iris de l’horizon-
Décante-
Les couches surgissantes-
Des jetées instantanées lacérées par le sable, non pas lui, mais eux, alors écossent le globe bleu-
Rire sterne\Plonge\Nage à rejoindre le cielToujours sentinelle trotte et révolutionne quelques clartés-
Un appel de l’écume au tamaris-
Souffle/Chape lâchée/Galbe fuyant/
Le vent-
Et reprendre posture au fouet des chevelures sensibles-
Saturday, June 03, 2006
Gentle Thunder
Gentle Thunder: sinking skin as alphabet neutrino grace levering a secret caravan
shucking and jiving the electric belonging to all of us and running through our
fingers simultaneously,
boldly squeezed confident alignment writing desires as parted lips
meeting everything at some rubbing of the self on
the sonic taste/creating sight syllables (no longer king of the click)
Truth as universal pall-bearer?
Digging through quiverig paranoia
the mirror becoming the supreme issue of our time, exposing the sham metaphysics lurking insidiously behind all forms of representation
Not even good for the setting sun that makes music sexy...
wishing past your pants, facetious as ever,
creating titanic all we can do miasma frying subterfuge
with the glory of an epidemic rifle addressed to
the ancestors of water-dreams chewing on the
lumpen band-aids incipient, feeling spacious and
dangerous allure peddling a busty trauma freezing
cold, thinking constantly about veneered lines of
lonely so becoming of the sky
L'éon coquin
Par ailleurs :
Merveilleusement mignon,
L’éon coquin
Se balance sur le sourire de la lune.
* Il cligne des étoiles**********
* Il souffle aux plissures spatiales***
* Il flûte une atmosphère*******
Gracile,
Il pointe les marches du xylophone cristallin.
Tendre mélodie qui le nuage jusqu’à la caverne solaire.
-Cette terre est heure-
Un doigt sur la bouche
et il frise l’écho des stalactites vibratiles.
-Se nacre alors toute perception-
Des sentes astrales tissent l’univers,
Sans rime autre que celle de la biomimésis bien-aimée.
Ici…Maintenant……….En suspension…
Chaque soupir braise des genèses… ICI