Monday, August 21, 2006

quand ...

La décision a été prise
Savoir en soi, du loup le sablier qui résonne
Abus d’incisions, d’œuvres dépourvu de calme
Ruines d’amour sans même un fantôme
Au delà de soi, une rose dans la main
D’exister pour deux, vivre dans le cœur de l’autre
Je suis la somnolence de l’enfant
Contentement d’insuffisance aux issues célestes
Les soins éprouvés futiles en poussières
Où gravitent mes écrits nocifs
Comme l’érosion d’un honneur arraché
Tien moi en moi nature détruisant les craintes
Mon imagination n’est pas si différente
L’errance bleue de mon empire
N’est qu’une maison sans portes
Où se cache un dragon protecteur d’incohérences
Vertige, boucle du confort
Peindre la toile d’un silence aquatique
L’encre dessine mes souhaits de la nuit
L’obscurité perle sur ma paix
Spirales ne s’offrant qu’une seule fois
Lentement ramener aux désirs d’étoiles
Récifs filants mes peines gracieuses
L’inachèvement d’un cauchemar
Ondule le froid du crépuscule
Pleure mon silence, vers le lac embrasé
Détruit par l’avalanche du monde
Emporte les restes enneiger de mon esprit
Mes hautes espérances n’ont plus aucun sens
Un souvenir sensitif indéfini et sans nom
La femme aux cheveux rouge, princesse d’innocence
Se présente à moi le cœur dérobé
Mon âme sur cette île pour toi, ma fée
Ile aux visages des plaines félicitées
Ailleurs la clarté te mènera sans goût
Foudroyant nos sincérités

1 Comments:

Blogger Clifford Duffy said...

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10:36 PM  

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